Pour commencer ma bafouille je vais plutôt dire Patrice puisque c’est ainsi que je t’ai connu il y a 6 ans !
Tu as été mon premier contact avec la plongée muretaine. Nous étions assis côte à côte dans un restaurant juste après la séance piscine du club. Tu m’as tout expliqué et surtout donné envie de poursuivre avec vous.
Déjà ta convivialité, ta passion était omniprésente.
Durant les années suivantes je vous ai poussé toi et une bande de copains à poursuivre dans les niveaux les plus élevées de la plongée. Gros challenge ! Et si toute la bande a suivi vers le plus haut niveau de plongeur c’est aussi et surtout grâce à toi tu en étais le moteur, la locomotive. Grosse fierté pour toi mais aussi pour moi, Patoche, tu venais de réussir un des plus difficiles examens de plongée !
Tu avais formé mes filles à la piscine et lorsqu’elles me parlaient de Patrice, c’était pour me dire :
« Avec lui c’était le top ! »
Il n’en fallait pas moins pour que je te pousse vers le monitorat avec une grosse partie des copains devenus les "Konos" comme nous nous nommions amicalement et j'en étais devenu le chef !!
Là encore tu as été le leader de ce groupe et tu avais même décrété que ma fête ne serait plus le 17 mars comme toi d'ailleurs mais le 8 mai.
Pourquoi ce jour là ?
C’est à cause des « oui mais » qui ponctuaient mes débriefings lors de tes séances de péda et qui t’ont parfois agacés d'ailleurs mais que tu as su rapidement prendre en compte et qui grâce à ton humour se sont transformés en 8 mai.
Ce monitorat tu le voulais, tu l’as passé, tu l’as eu et surtout tu l’as mis à contribution avec beaucoup de passion.
Tu as tant donné pour notre club que personne ne peut oublier l’organisateur de ces moments conviviaux qui réunissent et fédèrent, personne ne peut oublier le trésorier (Picsou qui est vite devenu un surnom).
Aujourd’hui le Boss comme tu aimais m’appeler lors de nos échanges téléphonique est triste mais tellement fier de ton parcours ...
Alors aujourd’hui les "Konos" te disent salut Patoche, salut Picsou mais surtout salut l’ami.
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